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Broutards Activité commerciale un peu plus régulière avant la trêve des confiseurs

Les apports sont un peu plus réguliers en compensation de la semaine passée, perturbée par les fortes chaleurs, mais aussi via l’anticipation de la trêve des confiseurs sur les 15 premiers jours d’août.

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En effet, les exportateurs et les engraisseurs vont partir en congé et l’activité sera quasiment inexistante sur les deux semaines à venir.

 

L’activité commerciale de cette semaine est assez régulière. Même si les besoins ne sont pas très importants, les acheteurs sont présents sur les marchés. Les tarifs se tiennent chez les bons taurillons et les broutards lourds (350/450 kg) préparés pour l’export. À Moulins-Engilbert, les bons broutards de 350/400kg se valorisent entre 2,60 et 2,70 €/kg vif. Les transactions sont plus compliquées et très sélectives pour les animaux de second choix, peu sollicités par les acheteurs notamment sur l’Espagne.

 

Sur l’Ouest, la tension commerciale reste de mise car le prix des broutards est jugé encore trop élevé pour des mises en place régionales. Les échanges sont difficiles avec des tarifs qui se stabilisent après les baisses de ces dernières semaines en Charolais, Limousins ou Blonds d’Aquitaine. Les charolais U de 250/300 kg se stabilisent entre 720 et 800 € sur Châteaubriant.

 

Du côté des laitonnes, la demande reste présente permettant un bon écoulement des bonnes Charolaises vaccinées pour l’export avec des 300/350 kg vendues entre 2,68 à 2,82 € sur le marché de Saint-Christophe-en-Brionnais. Le placement demeure très calme pour celles de choix ordinaire, destinées à l’export sur l’Espagne.

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